Je n’ai pas le choix

Sur l’eau calme de l’estuaire,
La lune brille, ronde et claire.
Le soleil couchant, rouge et orange,
Teint le ciel de sa lumière.

Mais la beauté de ce paysage
Ne masque pas la réalité :
La vie est dure et pleine de douleur,
Et l’avenir est incertain.

Le fleuve coule vers la mer,
Emportant avec lui nos rêves et nos espoirs.
Nous sommes de petits bateaux,
Perdus dans l’immensité de l’océan.

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